TotalEnergies : acompte sur dividende de 0.79 €/ action
NOUVEAUTÉ ! La hausse du prix du pétrole a, une nouvelle fois, boosté les résultats de TotalEnergies.
Publié le par
Le fonds en euros EURO+ proposé par Swiss Life a publié une performance annualisée remarquable de + 4.10 % en 2023, sans le moindre bonus de rendement. Ce fonds euros est accessible en exclusivité via le contrat d’assurance-vie monosupport Placement-direct EURO+. Avec EURO+, aucune contrainte d’investissement sur des unités de compte ne pourra donc exister. Sans frais sur les versements, ce contrat EURO+ peut être considéré comme étant un des meilleurs plans épargne sans risque 2024.
A 09H38 l’indice CAC 40 progressait de 49,81 points à 5.125,08 points. La veille, il avait finien baisse de 0,51%.
"Les démocrates ont, comme annoncé, repris la Chambre des représentants. Les républicains vont, quant à eux, conserver le Sénat. La vague bleue (démocrate) que pouvait craindre Trump n’aura donc pas vraiment eu lieu", a commenté dans une note Christopher Dembik, responsable de la recherche économique chez Saxo Banque.
Les démocrates américains ont remporté une victoire partielle mardi aux élections législatives de mi-mandat, gagnant la Chambre des représentants mais perdant du terrain au Sénat, un tableau nuancé dont Donald Trump s’estsaisi pour revendiquer un succès personnel.
"Cependant, même si l’on ne peut pas parler de vague bleue, ce résultat reste une victoire pour les démocrates", qui risque de contrarier "l’agenda conservateur du président", dont le mandat s’achève en 2021, a estimé M. Dembik.
En effet, selon lui, "on voit mal (Donald Trump) capable de mettre en place ses réformes d’infrastructure ou fiscales" dans cette configuration.
Aussi "sa rhétorique risque de se focaliser sur les mesures anti-immigration et les critiques envers la Chine, ce qui pourrait maintenir la pression sur les marchés", a-t-il complété.
"Le succès des démocrates va rendre la vie plus difficile au président Trump et suggère que les électeurs ne sont pas satisfaits de son administration", a abondé de son côté David Madden, un analyste de CMC Markets.
Du côté des indicateurs, la production industrielle allemande a progressé de 0,2% en septembre sur un mois, après 0,1% en août, révisé à la hausse, selon des données publiées mercredi par l’office fédéral des statistiques Destatis.
Le marché doit également prendre connaissance des ventes au détail pour septembre dans la zone euro, ainsi que des crédits à la consommation pour ce même mois aux Etats-Unis.
La Réserve fédérale américaine (Fed) débute par ailleurs ce mercredi une réunion de politique monétaire de deux jours.
– CGG bondit -
Sur le front des valeurs, les investisseurs avaient de nombreux résultats d’entreprises à digérer.
CGG bondissait de 6,20% à 2,19 euros après que le groupe a annoncé avoir limité sa perte nette au troisième trimestre, dans un marché en amélioration après la remontée des cours du pétrole.
M6 s’enfonçait en revanche de 4,88% à 16,58 euros, affecté par une dégradation de sa rentabilité au troisième trimestre, sur fond de revenus publicitaires quasiment stables sur la période.
Imerys était porté de son côté (+4,55% à 54,05 euros) par un relèvement de sa recommandation à "acheter" contre "conserver" auparavant par HSBC.
Hermès était quasiment stable (-0,04% à 502,60 euros). Le groupe de luxe a poursuivi sur sa lancée au troisième trimestre, avec des ventes atteignant 1,46 milliard d’euros, en croissance de 9,4% sur un an, le sellier-maroquinier se déclarant "optimiste pour l’avenir".
Crédit Agricole SA cédait 0,31% à 11,47 euros alors que l’entité cotée du groupe bancaire mutualiste a fait état mercredi d’une hausse de 3,2% sur un an de son bénéfice net pour le troisième trimestre, soutenu dans sa progression par la quasi-totalité de ses métiers.
Engie gagnait 1,50% à 12,20 euros après avoir confirmé mercredi ses objectifs annuels, malgré ses déboires dans le nucléaire belge, tout en prévenant que son excédent brut d’exploitation (Ebitda) serait légèrement inférieur à la fourchette indicative annoncée jusque-là.
Axa progressait de 1,18% à 22,27 euros. L’assureur français a vu son chiffre d’affaires légèrement augmenter sur les neuf premiers mois de l’année, tiré notamment par une bonne dynamique commerciale en Europe.
Veolia montait de 2,20% à 18,35 euros, profitant de résultats ayant fortementprogressé sur les neuf premiers mois de l’année, avec une accélération au troisième trimestre.
Eiffage s’appréciait de 1,49% à 88,44 euros, fort d’un chiffre d’affaires qui a nettement progressé au troisième trimestre, grâce à l’essor de son activité de travaux.
Vicatgrappillait 0,13% à 46,46 euros. Le groupe cimentier français a publié mardi un chiffre d’affaires en baisse de 1,1% au troisième trimestre, à 666 millions d’euros, pénalisé par la dégradation de l’environnement économique en Turquie et la baisse de la livre turque.
LNA Santé (Le Noble Age) prenait 2,18% à 46,85 euros après avoir réitéré ses prévisions de résultats annuels, son activité ayant été portée notamment par le dynamisme des soins ambulatoires au troisième trimestre.
Marie Brizard Wine and Spirits (MBWS) progressait de 1,33% à 4,18 euros malgré un chiffre d’affaires en baisse de 4,6% au troisième trimestre 2018, à 99,6 millions d’euros, avec une reprise marquée des ventes en Pologne.
jra/ef/nth
NOUVEAUTÉ ! La hausse du prix du pétrole a, une nouvelle fois, boosté les résultats de TotalEnergies.
NOUVEAUTÉ ! Face à un concurrence chinoise accrue, Tesla abaisse de nouveau ses prix afin d’apparaître comme étant le moins cher du marché.
Depuis son plus haut niveau historique à l’été 2023, Tesla a chuté de 50 %, et de près de 40 % depuis le début de l’année. Et ce ne serait pas terminé.
Quand faudra-t-il prendre ses bénéfices sur ces 7 magnifiques ? Tesla dans le dur, Apple moins bien...
Emeis, spécialisée dans l’exploitation d’Ephad, a signé en 2023 un retour à meilleure fortune. Tout n’est pas réglé, mais les nuages se dissipent sur son avenir.
Le marché européen des obligations à haut rendement a donné des sueurs froides aux gérants obligataires en mars dernier. Trois importants émetteurs ont du restructurer leur dette.